Ajouté le 05 Décembre 2017 à 11h02
Il se trouve que depuis plusieurs mois, je suis en contact avec un cabinet d’affaires. J’étais de passage sur Lyon pour voir une amie qui vient récemment de rompre avec son copain, bref, je vous épargne les détails. J’ai pris par la suite un billet d’avion pour Paris avec une célèbre compagnie aérienne toute ornée d’orange. J’arrive sur les coups de 11h à l’aéroport Saint-Exupéry. J’enregistre mes bagages et me dirige vers la porte d’embarquement. Force est de constater que beaucoup de gens eurent la même idée que moi de partir vers la capitale. Je m’assoie patiemment et regarde le vas et vient de gens, pressés ou pas.
En face de moi, je remarque le regard d’un charmant jeune homme. La trentaine, cheveux blonds et yeux bleus, le cliché ! Son regard est très envoûtant, il me dévore littéralement des yeux, ce à quoi je suis flattée. Je suis dans ma bulle, tout en regardant cette charmante personne, quand tout à coup, une voix retentit, avertissant les passagers que l’embarquement va commencer. Je me lève d’un pas décidé et me rend à l’embarquement. Je présente mon billet, m’avance dans les dédales de couloirs interminables et me rend enfin dans l’avion. Une fois assise, le ballet d’allés et venues continue, quand tout à coup, le charmant jeune homme qui me fixait langoureusement m’interpelle : « Cette place est prise ? – Non », lui répondis-je. Il pose son sac dans le compartiment et s’installe à côté de moi. La conversation démarre presque immédiatement. Il se présente, il se nomme Paul. Je lui réponds que je suis enchantée de faire sa connaissance et par la même occasion, je réplique mon prénom : « Clothilde ». Je remarque tout de suite son sens de l’humour très vif et percutant. Il ne peut s’empêcher de commenter les gestes et attitudes des gens courant pour obtenir la meilleure place dans l’avion, ce à quoi je réponds dans son sens.
Une fois les voyageurs installés, le speech de sécurité commence, toujours commenté par Paul. Je rigolais aux éclats, et, apparemment, les voyageurs n’avaient pas trop l’air d’apprécier. L’avion décolle ensuite, quelques à coups se font ressentir, notamment une légère turbulence qui fit pencher ma tête en plein sur son thorax. Ma main gauche se posa, quant à elle, sur son pénis. Durant les quelques secondes de la secousse, je sentis que ma compagnie ne le laissait pas indifférent. Son sexe était littéralement dur, et, il était à priori plutôt bien membré. Sur le coup de la gêne, je relevai ma tête et enleva rapidement ma main. Je m’excusai à plusieurs reprises, et lui me demandais constamment : « Est-ce que vous allez bien ? ». « Oui, tout vas bien, rien de cassé », répétais-je.
Durant les 10 premières minutes de vol, une gêne s’installa. On aurait dit des adolescents lors d’un premier rendez-vous amoureux. Ce n’est qu’au passage du steward avec son chariot à boissons que Paul me proposa un rafraîchissement. Notre discussion repris. Il me confia qu’il allait également sur Paris pour les affaires, puis sans comprendre, il plaça dans la conversation qu’il était célibataire. Je répondis que j’étais très étonnée, un homme si charmant ne peut pas rester seul. Il me confia que toutes les relations sérieuses qu’il avait eues dans le passé n’avaient jamais durées, par manque d’investissement auprès des jeunes femmes qu’il a connu. Depuis, il vit au jour le jour, ce à quoi j’ai répondu que j’avais également connu ce genre de situations, que j’étais exactement dans le même cas que lui. Quelques secondes plus tard, sa main commence légèrement à caresser ma jambe droite. Il entame très naturellement des vas et viens, passant quelques fois sa main sous ma jupe. J’étais très gênée, mais, j’appréciais. Il me glissa tout doucement à l’oreille qu’il voulait en discuter plus intensément. Nous mirent au point un stratagème pour nous rendre le plus discrètement possible dans les toilettes, au fond de l’avion. Il se rendit le premier. Quelques minutes plus tard, je me levai et me rendit au fond de l’appareil.
Je signalai ma présence par trois petits coups sur la porte, comme Paul me l’avait dit. Il ouvra la porte et me tira rapidement, afin de ne pas éveiller les soupçons. Il ferma la porte à clés, me retourna et me plaqua contre le mur du compartiment très étroit. Il mit ses deux mains au dessus de ma tête, pour s’appuyer contre le mur, et, commença à m’embrasser langoureusement. Nos salives se mélangèrent et nos langues faisaient un ballet incessant de vas et viens. Il ôta par la suite mon chemiser blanc et commença à admirer ma poitrine sous mon ravissant soutien-gorge Aubade. Tout en continuant de m’embrasser, sa main droite descendait doucement, d’abord mon visage, puis il caressa mon cou. Tout doucement, et tout en douceur, sa main glissa jusqu’à mon sein gauche, qu’il prit fermement mais avec une délicatesse déconcertante, et, le caressa comme personne ne l’avais jamais fait auparavant. Je me sentais bien, il embrassait divinement bien et ses caresses me faisait beaucoup d’effet, proche de l’orgasme. Il enleva mon chemisier, dégrafa mon soutien-gorge, et commença à m’embrasser mes tétons. Sa langue était chaude, et mes tétons étaient tout durs. J’étais bien, c’était le principal. J’enlève ma jupe et laisse apparaître mon string blanc à dentelle assorti au soutien-gorge. Paul se baisse et commence à me caresser mon clitoris. Celui-ci était tellement humide qu’il traversa mon string avec une alvéole apparente.
Sans temps morts, il se mit à lécher, accentuant cette alvéole déjà importante. Sa main, qui était occupée à me malaxer ma fesse gauche se retrouva dans mon clitoris. Avec son index, il faisait des vas et viens, puis deux doigts, puis trois, le pied ! Tout en masturbant mon clito, sa bouche se retrouva au niveau de mon nombril, qu’il embrassait tendrement. J’étais très émoustillée, l’altitude et le plaisir y était pour beaucoup. Je ne pus m’empêcher de pousser des petits cris de plaisirs, tout en sachant que des gens attendaient leurs tours pour aller au toilettes, et que surtout, nous n’étions pas seuls : le moindre dérapage pouvait nous coûter cher. Paul détacha sa ceinture puis baissa son pantalon. Son boxer noir laissait apparaître une bosse longue. Je compris rapidement que lui aussi était très excité de la situation. Je me baissai, ôta son boxer et admira avec plaisir son pénis, long et épais. Je palpais avec délicatesse son sexe, dur et vigoureux. Ma main faisait quelques vas et viens, je le masturbais lentement, avec délicatesse. Son visage, remplis de désir et de satisfaction me poussa à aller plus loin dans mes mouvements. Ma bouche alla se réfugier sur son sexe. Ma langue léchait langoureusement son gland. Je voyais bien que Paul allait craquer.
Je décidais ensuite de prendre ma poitrine et de lui faire une branlette espagnole. Mouvement fatidique, son sperme éclaboussa sur ma figure. Son sperme était chaud et épais. J’en avais plein le visage et une quantité impressionnante était restée sur son sexe. Je me dépêchai de tout lécher, une voix à l’extérieur se faisait retentir. Nous nous rhabillèrent d’une vitesse déconcertante, en prenant le soin de nettoyer et effacer les traces de notre passage. Nous sortirent rapidement de la petite cabine, les deux personnes qui attendaient n’avaient pas remarqué que nous étions deux. Coup de bol, pensais-je. Nous reprirent nos emplacements, et, exténués par ce qui venait de se passer, nous nous endormirent profondément, jusqu’à la fin du vol. Quelques minutes plus tard, une hôtesse me réveilla avec un français approximatif : « Madame, dépêchez-vous, nous venons d’atterrir ! ».
Il ne restait plus que moi dans l’appareil, celui-ci était désert. Je repris connaissance, et, me demandait si ce qui venait de se passer était réel ou le simple fruit de mon imagination. Je sentis dans mon soutien-gorge quelque chose d’anormal, d’un geste discret, je découvris un petit papier avec écrit : « J’ai passé un très bon moment en ta compagnie, Clothilde. Voici mon numéro, j’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir très rapidement. Des bises, Paul ».